1. Lutter contre l’infobésité en privilégiant une sélectivité des sources;
2. Trouver des solutions pour intégrer les contenus multimédias à sa veille au même titre que les contenus textuels;
3. Tirer parti des évolutions de la traduction automatique pour renforcer sa veille sur des langues autres que l’anglais;
4. Accorder plus d’importance à la fiabilité des sources et informations et être vigilant sur la porosité de la frontière information/publicité;
5. Adapter ses livrables aux attentes et pratiques de son public et non l’inverse;
Twitter est une source d’information incontournable pour la veille et la recherche d’information, notamment pour réaliser sa veille métier.
En effet, on a beau surveiller de multiples sources d’informations, blogs, sites Web, sites de presse, etc., rien ne remplace cette curation humaine souvent réalisée par des experts et des passionnés. C'est une des meilleures méthodes pour découvrir des outils, sources et méthodes passés inaperçus ou non relayés par ses sources d’information traditionnelles.
Le volume d’informations pour réaliser une « veille sur la veille » la plus exhaustive possible est aujourd’hui tel qu’il est plus que jamais nécessaire de tirer parti de l’intelligence collective.
Pour rester un expert et conserver sa valeur ajoutée au sein de l’organisation, on ne peut que conseiller à un professionnels de l’info, si ce n’est pas déjà fait, de suivre au minimum une sélection de comptes Twitter qualifiés.
Cette année, FLA Consultants vous propose son Calendrier de l'Avent Veille.
Chaque jour, découvrez de nouvelles astuces, conseils et outils pour optimiser vos veilles et recherches d'information stratégiques, concurrentielles mais aussi scientifiques et techniques!
Pour y accéder : https://huit.re/calendrier-avent-veille
Auteur : Carole Tisserand-Barthole, rédactrice en chef de BASES et NETSOURCES
Depuis plus de 10 ans maintenant, Google a recours à ce qu’il appelle la « recherche personnalisée ».
Concrètement, cela signifie que Google personnalise la liste des résultats naturels de ses utilisateurs en fonction de différents critères : localisation, historique de recherche, historique de navigation ou encore présence et contacts sur les médias sociaux, etc.
Deux personnes effectuant une même requête au même moment n’ont donc pas nécessairement les mêmes résultats.
Et quand on sait que Google n’affiche en réalité pas plus de 200/300 résultats au maximum par requête, même s’il indique à première vue des milliers voire des millions de réponses, on risque vite de passer à côté d’informations et de sources pertinentes...
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LinkedIn est aujourd’hui LE réseau social professionnel dans le monde, et cela de plus en plus, depuis que ses principaux concurrents Viadeo en France ou Xing en Allemagne, Autriche et Suisse sont en perte de vitesse.
Il représente donc une source d’information incontournable dans un contexte de veille et de recherche d’information. Mais si son utilité paraît évidente pour tout ce qui a trait à l’information sur les personnes, elle ne s’y limite pas...
Si tout le monde ou presque connaît Bing, le moteur de recherche Web de Microsoft sans pour autant l’utiliser, on en oublie parfois que Microsoft a également développé un moteur de recherche académique à l’image de Google Scholar.
A l’heure où Microsoft se prépare à lancer une nouvelle version de son moteur académique et pour faire suite à notre précédent billet sur les nouveaux moteurs de recherche académiques, ce nouveau produit, Microsoft Academic, pourrait-il enfin devenir une alternative crédible à Google Scholar ?
Depuis le début de l’année 2018, de nouveaux acteurs sont apparus sur le marché des moteurs de recherche d’articles scientifiques gratuits.
Qui sont-ils ? Comment se différencient-ils de Google Scholar ? Et quelle peut-être leur valeur ajoutée dans un contexte de veille scientifique ou de recherche d’information bibliographique et de revue de littérature ?
C’est à toutes ces questions que nous avons répondues dans le dernier numéro de BASES n°361 : « Recherche d’information académique : enfin une comparaison concrète entre gratuit et payant ». Dans ce post nous vous présentons deux des multiples acteurs analysés dans l'article de BASES.
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Google Scholar : ami ou ennemi des outils professionnels ?
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Dans notre précédent billet « Google Actualités évolue à son tour : bonne ou mauvaise nouvelle pour la veille ? », nous avions analysé la nouvelle interface de Google Actualités (plus communément appelé Google News) afin de voir ce que cela changeait pour la veille et la recherche d’informations.
Et le constat final n’était malheureusement pas très encourageant...
Nous allons donc aujourd’hui tester l’aspect méthodologie de recherche. Existe t-il une façon réellement efficace de l’interroger ?
Pour rappel, Google Actualités est un moteur, lancé en 2002 mais en 2009 seulement pour la France, qui n’indexe que des contenus provenant de sites de presse, site d’actualités et quelques blogs de référence.
Quel que soit le type de veille ou de recherche d’information, on ne saurait faire l’impasse sur les médias et la presse. La presse généraliste ou spécialisée, les magazines d’informations, la presse locale, professionnelle ou encore les sites d’actualités sont bien souvent une mine d’informations que l’on ne saurait négliger.
Pour interroger et surveiller la presse gratuitement, on dispose depuis 2002 de Google Actualités, un service lancé par Google lui-même, indexant uniquement des sites de presse, sites et blogs d’actualités.
Pour le professionnel, cela offre un accès centralisé à la presse et aux sites d’actualités avec des fonctionnalités de recherche semblables à celles du moteur Web de Google.
Et pour la veille, Google Actualités offrait encore il y a peu la possibilité de générer des flux RSS à partir d’une recherche dans le moteur.
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Gratuité de l’information pour la veille : la fin d’une époque ?
La veille et la recherche d’information à l’heure de la recommandation de contenus
Les concepts d’études de marché et de gratuité semblent à première vue antinomiques. Les études de marché ont la réputation d’être chères, très chères même...
Alors que se cache t-il derrière ces sites et organismes qui proposent des études de marché gratuites ou très bon marché ? Quel intérêt ces documents peuvent-ils avoir pour la veille et la recherche d’information ?
Derrière le terme « étude de marché » se cachent en réalité de multiples définitions.
Certains lui appliquent une définition très stricte : celle d’une étude longue combinant de manière équilibrée données sectorielles et vision stratégique et prospective d’un marché.
D’autres, au contraire, englobent toute forme de rapports ou d’études courtes ou longues incluant des données de marché.
Et les documents que l’on trouve gratuitement sur le Web relèvent principalement de cette seconde définition.