Rappel : Parmi les services les plus connus, Answers.com a été lancé dès 1999, Yahoo Answers et Reddit en 2005 et Quora en 2009. Google avait de son côté lancé en 2002 un service payant appelé Google Answers qui permettait à des internautes de poser des questions sur n’importe quel sujet. Des « Researchers » humains rémunérés à la question étaient en suite chargés d’y répondre. Google a très mis vite fin à l’expérience en 2006 car le service n’était pas assez rentable.
Après 16 ans d’existence, Yahoo Answers va fermer ses portes le 4 Mai prochain
Yahoo n’a semble-t-il pas prévu de conserver une archive des contenus publiés sur la plateforme.
A lire sur Search Engine Journal
Intégrer les émissions de radio et de télévision à la veille et aux recherches d’informations a toujours été un processus compliqué et souvent trop chronophage par rapport au gain observé. A tel point que pendant de longues années, ces contenus n’étaient souvent pas pris en compte dans les prestations de recherche et de veille ou faisaient l’objet de prestations à part.
La nature-même des émissions de radio et de télévision, c’est-dire des contenus multimédia (audio et vidéo) rendent ces contenus difficilement « recherchables ».
La veille et la recherche d’information au niveau local peut revêtir un fort enjeu et nécessite une attention particulière. Si l’on pense en premier lieu à la presse locale pour s’informer sur des sujets locaux, le succès n’est pas nécessairement au rendez-vous.
Bien que vanté comme un rempart contre les fake news, la presse locale reste peu mise en avant par les géants du web sans compter que c’est un secteur qui a été durement touché financièrement au cours des dernières années et que cela a conduit à la disparition pure et simple de certains acteurs de la presse locale.
Quand on aborde un sujet, les brevets sont une source analogue à la littérature scientifique pour découvrir un domaine scientifique, car les brevets ne sont pas seulement une source de protection mais aussi une source d’information très large et riche.
Traditionnellement, les recherches brevet étaient et sont toujours menées par des ingénieurs spécialisés. Avec le développement des outils gratuits et freemium, ces recherches sont maintenant à la portée de tout ou un chacun, tout au moins ayant un intérêt fort sur un sujet technologique. C’est à leur attention que nous avons rédigé cet article, afin de leur donner des outils et meilleures chances de succès.
Lors d’une démarche de développement technologique, il est important de ne pas négliger les titres de propriété intellectuelle. Les principaux sont les brevets et les marques dont nous parlerons ici, mais il faut savoir qu’il existe aussi les dessins et modèles de même que les droits d’auteurs ou les indications géographiques.
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Le sourcing, c’est à dire l’identification des sources pertinentes est une étape cruciale de la veille et requiert une méthodologie structurée.
Si on intègre généralement les moteurs de recherche et médias sociaux à sa démarche, on ne pense pas nécessairement à utiliser les événements professionnels pour venir enrichir son sourcing. Et c’est bien dommage car les conférences, congrès, salons permettent d’identifier une multitude de sources qualifiées centralisées en un seul et même endroit sans même avoir besoin de s’y rendre physiquement.
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Le sourcing, c’est-à-dire l’identification des sources pertinentes, est une étape cruciale de tout processus de veille. Négliger cette étape, c’est prendre le risque de ne pas disposer des bonnes sources et par là-même des bonnes informations, ce qui peut mener à des analyses biaisées et de mauvaises décisions.
Les évolutions des outils de veille gratuits ou payants au cours des dernières années et notamment l’intégration de très vastes corpus de sources pré-paramétrés ou d’outils d’alertes qui crawlent en apparence l’ensemble du Web ont pu laisser croire que cette étape était devenue inutile ou en tout cas moins cruciale. Pourtant, il n’en est rien.
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Dans le cadre d’une recherche d’information dans un pays que l’on ne connait pas ou peu, la question du sourcing se pose inévitablement. Que l’on soit dans une recherche ponctuelle ou dans une démarche de veille, identifier les sources importantes est primordial et se fera en deux temps.
En effet, une première phase d’acquisition de connaissances inhérente au capital informationnel dudit pays est nécessaire avant de démarrer la construction de son corpus de sources.
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La maîtrise de l’anglais et du français peut sembler suffisante à un internaute français pour avoir le sentiment de couvrir ses besoins en recherche ou veille d’information.
Il est vrai qu’avec ces deux langues, et l’anglais en particulier, l’internaute peut avoir une première réponse, a priori satisfaisante, à ses besoins de recherche ou de veille sur un grand nombre de sujets. En 2017, certaines études situaient à plus de 50 % la domination de l’anglais sur le web.
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L’identification de sources locales couvrant des zones lointaines présente plusieurs difficultés, liées notamment à la langue ou au manque de connaissance du pays.
Une fois que l’on aura levé ces premières barrières, le moyen qui semble le plus évident pour l’identification de telles sources est d’utiliser tout simplement un moteur de recherche, en particulier Google. Cependant, un certain nombre d’étapes est indispensable pour obtenir plus de résultats et de meilleure qualité. On ne négligera pas non plus d’autres outils de recherche de type annuaires ou pages de liens.
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Dans le dernier numéro de BASES, nous avions présenté une série de sources pour effectuer une veille sur le Coronavirus.
Compte tenu de l’actualité et de l’effervescence liée au sujet, de nouvelles sources voient le jour très régulièrement, sachant que certaines ressources se retrouvent dans plusieurs sites agrégeant les principales ressources sur le sujet.
Lancée en février, la nouvelle base lancée par Dialog Solutions propose aujourd’hui plus de 33 500 références bibliographiques de documents scientifiques, essentiellement des articles, ce nombre augmentant rapidement, avec une mise à jour quotidienne.
Actualité oblige, de nombreux professionnels de l’information se retrouvent à devoir effectuer recherches d’information ou veilles sur le sujet du coronavirus.
Mais cela n’a rien de simple tant le volume d’information à l’échelle mondiale illustre parfaitement le concept de surinformation.
Un volume d’information impossible à gérer humainement
Du côté de la presse par exemple, Tagaday (ex-Pressedd) recensait plus de 19 000 mentions du coronavirus dans la presse française en mars 2020 (voir figure 1.).
Mediatree relevait quant à lui plus de 49 000 mentions sur les radios et TV françaises entre le 19 et le 25 mars. Et on se situe ici uniquement au niveau français...
Les articles scientifiques ne sont bien sûr pas en reste. Les bases de preprints (donc non validés par les pairs) MedrXiv et BiorXiv dépassent déjà les 1 000 articles dédiés au Coronavirus.
Enfin, les réseaux sociaux ne parlent pratiquement plus que de cela.
Le besoin de sélectivité et de qualité de l’information et des sources plutôt que de la quantité fait un retour sur le devant de la scène, et ce, pour plusieurs raisons.
Dans un contexte de surinformation croissante, il y a tout d’abord une prise de conscience qu’il est contre-productif de vouloir tout surveiller et qu’on se retrouve juste noyé sous l’information. D’autre part, la mise en lumière de la désinformation et des fake news a fait prendre conscience que toutes les sources d’information n’ont pas la même valeur.
Les médias comme Le Monde, The Guardian ou encore le Times ont récemment annoncé avoir revu courant 2019 leur stratégie éditoriale pour produire moins de contenus, mais de meilleure qualité, ce qui leur avait permis d’augmenter leur audience et leurs ventes.
Instagram vient tout juste d’annoncer une fonctionnalité pour faire le tri dans ses abonnements.
Google lui-même n’a pas abandonné ses verticales thématiques comme Google Scholar ou Google Actualités. Il a même choisi de créer une nouvelle verticale avec Google Datasets (jeux de données issues de l’open data et des données de la recherche) qui vient tout juste de sortir de sa version bêta et propose de nouvelles fonctionnalités. Enfin, il vient également d’ajouter un moteur de recherche à son interface Google Podcasts.
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Les données en open data sont une mine d’or pour la recherche et la veille professionnelle. Seul problème, la très grande majorité des moteurs et plateformes d’open data ne permettent que de rechercher sur les métadonnées, ce qui ne permet pas d’exploiter tout leur potentiel.
Fort heureusement, de plus en plus d’acteurs créent des outils de recherche (moteur, base de données interrogeable, carte interactive) à partir des données disponibles sur les plateformes d’open data. Et ces outils peuvent être d’une aide précieuse.
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L’évaluation des sources a toujours fait partie du métier de veilleur mais certaines évolutions récentes nous invitent à revoir la façon dont nous considérons chaque catégorie de sources.
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On a en effet souvent tendance à accorder plus de crédibilité à des sources « classiques » comme la presse ou la littérature scientifique où il y a, en principe, une vérification des informations ou une validation par les pairs qu’à des sources plus « nouvelles » comme les médias sociaux notamment, où n’importe quel internaute peut dire à peu près ce qu’il veut.
Comme nous avons pu le voir précédemment, certains géants du Web et les outils de recherche et de veille professionnels commencent progressivement à intégrer des fonctionnalités permettant d’évaluer la fiabilité des sources, notamment en mettant en place des partenariats avec des start-ups qui se positionnement sur l’évaluation des sources et des contenus.
Nous avons interviewé trois acteurs sur le marché français se positionnant sur ce créneau, avec des approches intéressantes mais divergentes. Nous avons par ailleurs identifié les autres acteurs en place, que nous analyserons dans cet article.
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Tirer parti du fact-checking et du journalisme d'investigation pour la veille et la recherche d information
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Comment évaluer la fiabilité des sources dans des pays dont on ne connaît pas la langue ?
Marie-Pierre Vidonne du CFIB (Club francophone de l’information brevet) a attiré notre attention sur le lancement récent de la banque de données Pat-INFORMED (Patent Information Initiative for medicines).
Cette banque de données propose des informations sur 14 000 brevets délivrés (uniquement, c’est-à-dire sans références de demandes en cours) issus de 600 familles correspondant à 159 produits différents identifiés par leurs DCI (Dénomination commune internationale, communément appelée « nom générique », ou INN en anglais pour International Nonproprietary Name).
Ces termes sont enregistrés auprès de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé). Il en existe aujourd’hui plus de 8 000.
Il convient maintenant de dresser le portrait des principales ressources généralistes et multidisciplinaires pour la veille et la recherche bibliographiques. Et si nombre d’entre elles sont connues depuis longtemps des professionnels de l’information, nous avons également identifié quelques nouveaux acteurs prometteurs apparus au cours des deux dernières années et dont nous n’avons pas encore eu l’occasion de parler dans BASES.
Nous avons choisi ici de nous intéresser aux grandes ressources généralistes et multidisciplinaires proposant des références ou accès aux articles scientifiques et académiques. Sont donc exclues les ressources spécialisées sur une discipline en particulier ou sur certains types de documents qui pourront faire l’objet d’autres articles comme les thèses, mémoires, ouvrages, etc.
Lire aussi dans ce dossier :
Google Scholar est-il un véritable outil de recherche scientifique ?
La perversité de Google Scholar
L’industrie pharmaceutique est un secteur riche en informations de diverses natures, ce qui implique de disposer de multiples sources pour accéder à l’information la plus pertinente et la plus à jour.
Les différents métiers de l’industrie du médicament font appel à des sources spécialisées abordant les aspects scientifiques, cliniques, médicaux, techniques, réglementaires ou financiers du domaine.
Nous avions consacré la Une du dernier numéro de NETSOURCES à la recherche d’information appliquée aux personnes.
Cet article portait sur un aspect spécifique : la recherche et la veille sur des personnes dont on connaît le ou les noms (dans le cadre d’une démarche de e-réputation, de réalisation de biographies, de vérification d’informations sur une personne, ou pour retrouver des déclarations).
Cette fois-ci, nous allons aborder l’autre pendant de la recherche d’information sur les personnes : l’identification d’experts, d’influenceurs, ou de talents répondant à des critères précis.
Le gouvernement canadien propose un site terminologique qui vient en complément des nombreuses possibilités existantes comme, tout simplement, l’offre traduction de Google et les possibilités proposées par l’OMPI (Organisation Mondiale de la Propreté Intellectuelle) ou Worldnet.
Nous évoquions ce sujet dans notre article « Des outils pour enrichir le vocabulaire d’une recherche en anglais » (Bases n° 342, novembre 2016).
Pour en savoir plus : https://www.btb.termiumplus.gc.ca/tpv2alpha/alpha-fra.html?lang=fra
Peut-être insuffisamment exploitées ou tout simplement méconnues, les associations et les fédérations professionnelles françaises, n’en représentent pas moins des observatoires de l’actualité et de l’évolution des marchés et constituent ainsi des sources d’informations privilégiées sur les marchés.
On pourrait reprendre la devise d’une grande association « Valoriser l’image du produit français et soutenir la compétitivité des entreprises » pour illustrer le fait que ces organisations mettent à disposition des outils performants pour soutenir la croissance des entreprises mais également les aider dans leur démarche marketing.
Les Organisations Non Gouvernementales (ONG) ont aujourd’hui plus que jamais une place majeure dans le paysage médiatique mondial.
En tant que sources, d’abord : leurs rapports, études et déclarations, relayées par la presse, font régulièrement l’objet de débats pouvant aller jusqu’au scandale. C’est ainsi que l’ONG International Council for Clean Transportation fut à la source de l’affaire des émissions de particules des véhicules diesel Volkswagen.
Les ONG sont aussi devenues un véritable enjeu pour de nombreux gouvernements qui, de la Hongrie à la Russie en passant par la Chine, voient ces dernières comme une potentielle source d’ingérence étrangère et cherchent à renforcer leur contrôle sur ces organisations.
Le secteur de la construction en France regroupe un nombre très large de corps de métiers différents : génie civil, travaux publics, logements, bureaux… que l’on retrouve sur la twittosphère.
Ce n’est pas étonnant au regard du poids que représente le secteur de la construction et du bâtiment en France et en Europe.
Après une baisse de 20% de l’activité depuis 8 ans, le marché connait une vraie dynamique, notamment dans la construction de logements neufs.
Davantage présent aux débuts de l’internet, notamment en raison de sa taille limitée, le format audio est devenu depuis plusieurs années déjà le parent pauvre de la recherche d’information, chez les professionnels autant que pour le grand public.
L’explosion de la vidéo, permise notamment par l’augmentation exponentielle de la bande passante disponible, a accaparé l’attention, tandis que des outils de plus en plus efficaces de recherche d’images en ont fait un autre axe central des stratégies de veille (en permettant notamment de repérer des logos de marques dans des images à première vue anodines).
Le son, lui, est passé au second plan.
Nous avons développé les fiches pays dans BASES puis, par la suite, dans NETSOURCES depuis maintenant deux ans. Récemment, nous avons choisi de les faire évoluer pour nous concentrer plus spécifiquement sur les sources locales et notamment celles des secteurs d’activité les plus porteurs pour les investissements étrangers.
Ces sources sont en effet les plus longues et difficiles à identifier. Les sources d’informations avec une couverture mondiale telles que les bases de données des grandes organisations internationales, les bases de données généralistes payantes, etc. ne seront désormais plus reprises dans les fiches pays car elles diffèrent peu d’un pays à l’autre. Elles seront néanmoins disponibles en libre accès sur notre site web.
Retrouver les dernières déclarations d’une personnalité, rassembler les discours parus dans la presse sur une thématique précise, … voici des problématiques auxquelles peuvent être régulièrement confrontés les professionnels de l’information.
Pourtant, cette entreprise n’a rien d’aisé, loin de là. Même si les déclarations sont souvent mises entre guillemets et/ou en italiques dans les textes et articles qui les relatent, il n’existe pour autant aucun moyen simple et direct pour identifier ces éléments, que ce soit en utilisant des moteurs de recherche ou des bases de données et agrégateurs de presse.
Lorsqu’on cherche des informations d’ordre politique, économique, ou sociétal il y a des sources qui paraissent évidentes comme les nombreux types de presse, les sites institutionnels, les sites d’analystes qui sont facilement accessibles et identifiables via les outils traditionnels comme les moteurs de recherche ou les bases de données professionnelles.
D’autres, en revanche, sont beaucoup moins visibles et on risque fort de passer à côté de leurs ressources si l’on ne recherche pas spécifiquement dans leur direction. C’est notamment le cas des think tanks et de leurs publications qui sont le fruit d’un travail de recherche et qui pointent également vers de nombreuses références comme des articles de presse, des rapports, etc.
Moins visible depuis quelques mois dans les médias en raison du conflit syrien qui accapare l’attention, l’Iran reste néanmoins au centre des préoccupations d’analystes et d’entreprises désireuses de s’implanter sur un marché plein de promesses.
La levée progressive des sanctions a notamment encouragé un bon nombre d’entreprises à retourner dans le pays.
Les risques restent néanmoins réels, notamment en raison d’une situation géopolitique locale toujours très complexe et instable.
L’industrie automobile a été au coeur de l’actualité récemment à l’occasion du Mondial de l’automobile à Paris. Malgré les vagues de licenciements qui touchent régulièrement cette industrie, elle n’en reste pas moins un des secteurs clés de l’industrie française et représente un intérêt certain pour bon nombre de professionnels de l’information.
Twitter est devenu une source d’information incontournable pour notre profession. Pour autant, il est souvent sous-exploité car il est difficile de se repérer au milieu de ces milliards de tweets et de comptes pour en extraire les informations réellement utiles.
Dans cette twittliste, nous avons choisi de nous focaliser sur le marché de l’automobile (nouveautés, chiffres clés, innovations, etc) et, plus particulièrement, sur des sources francophones et anglophones.
« Avoir un coup d’avance », anticiper, voilà l’un des principaux enjeux des entreprises en matière de stratégie.
Et pour parvenir à détecter les informations le plus en amont possible comme la détection de projet avant la parution d’un appel d’offres, l’anticipation de la stratégie d’un concurrent, l’anticipation des risques, etc, la mise en place d’une veille stratégique est un des éléments indispensables.