Les Business cases sont une source originale d’information sur des problématiques d’entreprises, des questions de management ou d’éthique. Si, dans quelques cas, l’accès à ces études appliquées au milieu des affaires est réservé au monde universitaire (enseignants et étudiants), très souvent, leur accès peut être ouvert à d'autres publics. On recommandera dans tous les cas de bien vérifier les droits d'auteur et les exploitations possibles.
Selon les sources, il existerait de 14 000 à 16 000 Business Schools dans le monde et toutes utiliseraient les Business cases, en français, « analyse de rentabilité » comme outil pédagogique. On parle aussi parfois de Cases studies mais ce terme est aussi employé dans d’autres disciplines, en particulier dans le monde médical.
Ces Business cases sont nés à la Harvard Business School dans les années 1920. Ils ont été créés par analogie avec les études de cas qui se pratiquaient à la Harvard Law School à partir des décisions rendues par les tribunaux. Dès l’année 1924, cet outil pédagogique a été largement utilisé à la Harvard Business School et s’est répandu dans le monde entier, même si l’on voit apparaître quelques remises en cause de cet outil.
Comme nous avons pu le voir dans l’article « Comment enrichir sa veille concurrentielle avec les brevets ? » de ce même numéro, l’information brevet a un rôle à jouer dans tous les types de veille mais l’inverse est aussi vrai. L’information non-brevet, comme l’information business, financière, presse, etc. a aussi un rôle à jouer pour enrichir et améliorer la veille brevet.
C’est ce que nous avons choisi d’explorer dans cet article en partant d’un exemple concret : analyser la politique brevet de Quobly, une start-up française dans le secteur de la recherche quantique qui a récemment fait parler d’elle avec l’entrée de BPI France dans son capital. Nous avons choisi de mener l’enquête uniquement avec des données en libre accès.
NB : Suivant de loin le sujet du quantique, nous savons que les acteurs américains et chinois du domaine y ont une politique brevet très active. Un rapport de Michel Kurek publié en 2020 a établi que sur la période 2010 - 2020 les acteurs chinois sont à l’origine de 5164 familles de brevets, les acteurs américains de 1990 familles, et les acteurs français d’un modeste chiffre de 126 familles.
Quoi de mieux pour analyser une politique brevet que de commencer par une recherche dans les brevets. Nous avons utilisé ici l’outil Espacenet (pour savoir comment rechercher sur Espacenet, nous vous invitons à lire l’article « Comment enrichir sa veille concurrentielle avec les brevets ? » dans ce même numéro).
La recherche de financements est souvent au cœur des préoccupations des entreprises, des instituts de recherche et des universités, ainsi que des associations.
Réussir à identifier des financements demande une rigueur certaine car il existe des milliers de dispositifs d’aide à l’entreprise en France, et la même information est relayée par beaucoup de moteurs de recherche et quelques listes de sources à ne pas omettre.
Nous vous proposons ici une démarche méthodes/outils complète pour agir de façon structurée et la plus exhaustive possible dans la recherche de financements.
Le professionnel de l’information n’est pas forcément un expert en financements, et, un brief client sur les questions financières demande un haut niveau de confiance. Car les types d’aides sont divers et les filtres des moteurs de recherche touchent le cœur de la stratégie financière d’un client puisqu’ils concernent les sources et la nature des financements (emprunts bancaires, partage de capital, subventions par quel type d’organisme, avec ou sans apport, etc.).
En cas de création ou de reprise d’entreprise, on pourra s’aider de ce questionnaire de Bpifrance, qui commence par distinguer les financements pour une étude de faisabilité/un prototype, le projet dans son ensemble, un besoin de trésorerie, des investissements.
Le ministère de l’Économie et des Finances a annoncé il y a quelques semaines l’arrivée d’un nouvel annuaire des entreprises, officiel. Ce dernier a été créé par Etalab, le département d’ouverture des données de la Direction Interministérielle du Numérique, et la Direction Générale des Entreprises.
Trois filtres de recherche sont proposés : la zone géographique, le nom du dirigeant et la situation administrative (état administratif/type de structure/labels et certificats/Domaine d’activité/Code NAF ou APE).
Ils permettent de retrouver les données publiques détenues par l’administration sur une entreprise, une association ou une administration.
Si la recherche sur les entreprises est souvent associée à l’information financière et légale, on pense moins à aller explorer la question des statistiques douanières, c’est-à-dire les mouvements d’importations et exportations entre pays pour un produit donné.
Et pourtant, on peut en apprendre beaucoup sur ses concurrents, ses fournisseurs ou sur son marché en allant explorer ces données.
Mais ce n’est pas avec Google, pas plus qu’avec des outils de recherche et de veille classiques, que l’on va réussir à obtenir l’information souhaitée.
Dans cet article, nous avons voulu faire le point sur ce type de recherche d’information et de veille très particulières en nous intéressant :
Au terme de deux ans de développement, et en dépit de la situation sanitaire, Indexpresse dévoile sa nouvelle interface pour Delphes. L’ancienne version n’a pas disparu et les deux URL coexistent pour un certain temps encore, afin d’effectuer la transition. L’équipe de BASES et NETSOURCES a eu l’opportunité de découvrir cet outil atypique avec Anne BOCQUENTIN, dirigeante de la société éditrice de la plateforme : Indexpresse.
Il s’agit d’une base de données économique qui couvre la vie des entreprises, des secteurs et des marchés, à travers la presse bien sûr (presse nationale, économique, régionale et professionnelle), mais également des études de marché. Le paysage médiatique couvert est exclusivement français et les problématiques prises en compte sont très axées sur la France et l’Europe de façon plus globale.
Morressier est une entreprise allemande dont le but est d’emmener les conférences académiques à l’âge digital, ce qui s’est révélé particulièrement adapté à cette période de COVID-19 qui a vu l’essentiel, sinon la totalité, des manifestations non annulées passer en mode virtuel.
Cela permet, en effet, de disposer quasiment en temps réel de tout ce qui a été dit ou montré (on pense, en particulier aux posters).
LinkedIn est un outil de recherche puissant pour tout ce qui a trait à la recherche sur les personnes mais également depuis peu pour le contenu.
Irina Shamaeva, auteur du blog https://booleanstrings.com spécialisé dans la recherche d’information et le sourcing appliqué aux ressources humaines et au recrutement, a publié un intéressant récapitulatif des opérateurs de recherche existants sur LinkedIn, parmi lesquels certains fonctionnent mais ne sont même pas documentés par LinkedIn (voir figure 1 - Pour abonnés uniquement).
Les études de marché offrent une forte valeur ajoutée car elles associent à la fois un travail de compilation de données précieuses et une analyse approfondie.
Mais elles ont la réputation d’être chères, très chères même. Faut-il pour autant faire une croix sur ces sources si l’on ne dispose pas d’un budget suffisant ou d’un accès aux principales sources et bases de données qui en proposent?
TableBase a longtemps été accessible sur Dialog mais avait été abandonnée lors du passage à Proquest Dialog. La voici de retour.
Cette banque de données est très originale dans la mesure où elle sélectionne des articles de la presse économique internationale depuis 1996 contenant des tableaux qu’elle reprend en détail.
Ces tableaux peuvent être des classements de marques ou d’entreprises, des parts de marché, des nombres de points de vente, des statistiques de production ou de consommation, etc.
Produite par Gale (Cengage Learning), une indexation détaillée permet de bien cibler les résultats.
TableBase est mise à jour chaque semaine.
C’est l’occasion de rappeler que Proquest Dialog offre, comme Dialog auparavant, plusieurs banques de données importantes dans le domaine du business/marketing telles que ABI/Inform Professional, Gale Group PROMT®, ou encore Business & Industry Database.
Le secteur de la construction en France regroupe un nombre très large de corps de métiers différents : génie civil, travaux publics, logements, bureaux… que l’on retrouve sur la twittosphère.
Ce n’est pas étonnant au regard du poids que représente le secteur de la construction et du bâtiment en France et en Europe.
Après une baisse de 20% de l’activité depuis 8 ans, le marché connait une vraie dynamique, notamment dans la construction de logements neufs.
Derrière les concepts de veille concurrentielle et de veille stratégique se cachent des réalités très diverses en fonction du secteur d’activité dans lesquelles elles s’exercent.
Dans l’industrie par exemple, la surveillance des usines des concurrents revêt un caractère crucial.
Elles ne représentent certes pas la partie la plus visible de l’entreprise, bien au contraire, mais sont au cœur des opérations et la recherche de tous types d’informations sur leur fonctionnement (production, éléments financiers, approvisionnement…) est essentielle dans l’analyse d’une société ou d’un groupe.
Avention : un acteur historique de l’information business en Amérique du Nord
Depuis plus de 30 ans, la société Avention (ex-OneSource jusqu’en 2014) est un acteur clé de l’information business et plus précisément l’information sur les entreprises, industries et marchés.
Son marché principal est historiquement en Amérique du Nord mais l’entreprise est également présente dans le reste du monde et notamment en Europe. L’entreprise dispose d’ailleurs de bureaux à Londres pour couvrir le continent européen avec des équipes maîtrisant les différentes langues dont le français. Elle reste néanmoins peu connue en France.
Nous avons développé les fiches pays dans BASES puis, par la suite, dans NETSOURCES depuis maintenant deux ans. Récemment, nous avons choisi de les faire évoluer pour nous concentrer plus spécifiquement sur les sources locales et notamment celles des secteurs d’activité les plus porteurs pour les investissements étrangers.
Ces sources sont en effet les plus longues et difficiles à identifier. Les sources d’informations avec une couverture mondiale telles que les bases de données des grandes organisations internationales, les bases de données généralistes payantes, etc. ne seront désormais plus reprises dans les fiches pays car elles diffèrent peu d’un pays à l’autre. Elles seront néanmoins disponibles en libre accès sur notre site web.
Moins visible depuis quelques mois dans les médias en raison du conflit syrien qui accapare l’attention, l’Iran reste néanmoins au centre des préoccupations d’analystes et d’entreprises désireuses de s’implanter sur un marché plein de promesses.
La levée progressive des sanctions a notamment encouragé un bon nombre d’entreprises à retourner dans le pays.
Les risques restent néanmoins réels, notamment en raison d’une situation géopolitique locale toujours très complexe et instable.
L’industrie automobile a été au coeur de l’actualité récemment à l’occasion du Mondial de l’automobile à Paris. Malgré les vagues de licenciements qui touchent régulièrement cette industrie, elle n’en reste pas moins un des secteurs clés de l’industrie française et représente un intérêt certain pour bon nombre de professionnels de l’information.
Twitter est devenu une source d’information incontournable pour notre profession. Pour autant, il est souvent sous-exploité car il est difficile de se repérer au milieu de ces milliards de tweets et de comptes pour en extraire les informations réellement utiles.
Dans cette twittliste, nous avons choisi de nous focaliser sur le marché de l’automobile (nouveautés, chiffres clés, innovations, etc) et, plus particulièrement, sur des sources francophones et anglophones.
L’industrie pharmaceutique, et plus largement les problématiques de santé liées au médicament, sont bien présentes sur Twitter.
Il faut dire qu’il s’agit d’un domaine au poids économique mondial très élevé, et toujours croissant, sans même parler des enjeux sociaux et politiques.
La taille du marché mondial était ainsi évaluée à 639 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2013 (chiffre de l’organisation des entreprises du médicament), et s’il reste dominé par l’Amérique du Nord (41% des ventes de médicaments) et l’Europe (26,7%), les pays émergents représentent une part de plus en plus importante des ventes de médicaments. La société IMS Retail Drug Monitor notait ainsi pour l’année 2013 une croissance de 17% et 14% des marchés brésiliens et chinois, à comparer avec une croissance de 3% du marché américain.
Avec sa marque ombrelle Orbit, Questel est depuis de nombreuses années, dans une dynamique d’élargissement de son offre, soit en créant des fonctionnalités nouvelles, soit en rachetant des entreprises offrant des prestations relatives aux brevets par exemple GEM 360 ou Intellixir.
En revanche, tout ce qui concerne les marques a été abandonné comme on le sait en juin 2010, avec la vente de toute l’activité EDITAL à CT Corsearch, filiale de Wolters Kluwer.
Sauf erreur, c’est aujourd’hui la première fois qu’un élargissement de l’offre d’Orbit ne concerne pas les brevets, même si elle est réservée aux clients de la plateforme d’Orbit consacrée aux brevets.
EMIS est une base de données spécialisée dans l’information concernant les marchés émergents (données économiques et financières sur les entreprises, les pays et les industries). Elle appartient au groupe Euromoney Institutional Investor plc.
Nous avions déjà eu l’occasion de lui consacrer un article en 2013 qui s’intitulait « EMIS : une clé d’accès aux marchés émergents » (Bases n° 303 - Avril 2013).
Mais en trois ans, le produit a bien changé avec notamment une nouvelle interface et une meilleure couverture.
Il aura finalement fallu attendre huit ans pour que Thomson devenu Thomson Reuters abandonne ses activités dans les domaines scientifique et de la propriété intellectuelle (Thomson Innovation, CompuMark, …) qui a été, un temps, un de ses points forts.
Pourtant, dès le rachat de Reuters par Thomson en 2008, la question s’était posée du maintien ou non de cette activité dans le groupe (voir BASES n° 250, juin 2008).
Finalement, seuls les serveurs Dialog et DataStar avaient été rapidement vendus à Proquest qui les détient toujours.
Le besoin d’information sur les entreprises (qu’elles soient concurrentes, prospects, fournisseurs, etc.) concerne aussi bien les professionnels de la veille et de l’intelligence économique que d’autres fonctions de l’entreprise (top management, marketing, direction commerciale, etc.)
Avec la quantité d’informations disponibles gratuitement sur le Web ouvert, il n’est aujourd’hui pas très difficile de trouver des informations de base sur une entreprise (sauf si elle est de très petite taille avec des activités peu originales - artisan boulanger par exemple) mais dès qu’il s’agit d’informations plus complexes et stratégiques (comptes consolidés, structure d’actionnariat, fusions/acquisitions, ratios financiers, etc.), la tâche s’avère beaucoup plus ardue d’autant plus si la société est une entreprise privée et n’est pas basée en Europe.
La veille sur un pays étranger, qu’elle soit d’ordre économique, concurrentielle ou sectorielle, représente souvent une véritable épreuve et ce, même quand on maîtrise correctement la langue du pays en question.
Quand on se trouve en terrain connu (en l’occurrence dans son propre pays), on sait généralement où chercher ou du moins, on connaît quelques sources de référence qui vont pouvoir ensuite nous aiguiller rapidement dans la bonne direction et vers les bonnes ressources. Dans un univers qui nous est complètement étranger ou presque, on sait ce que l’on cherche (au moins approximativement) mais on ne sait pas où chercher et surtout par où commencer.
On pourra bien évidemment commencer par explorer des sources internationales (serveurs et bases de données internationales, sites des grandes organisations internationales, ambassades, etc.) qui traitent du pays en question mais il serait dommage de se priver des sources d’informations locales qui sont généralement très complémentaires.
Il y a une dizaine d’années, deux consultants allemands du BCG (Boston Consulting Group), lassés de la difficulté qu’ils rencontraient à trouver facilement et rapidement des statistiques et données quantitatives sur des sujets divers et variés, ont décidé de lancer leur propre projet.
C’est ainsi que Statista a été lancé en Allemagne et plus précisément à Hambourg en 2007. En quelques années, la startup a pris de l’ampleur et compte aujourd’hui plus de 250 employés (des statisticiens, des éditeurs et des experts en bases de données) répartis entre Hambourg, Londres, Madrid et New-York.
L’entreprise a été récompensée à plusieurs reprises et a notamment été nommée « Meilleur portail de statistiques » en 2014 et 2015 par le Library Journal.
Bureau van Dijk (aussi connu sous l’acronyme BvD) est un acteur majeur des bases de données financières et business, comme en témoigne la notoriété de bases telles qu’Amadeus ou Diane.
Pour autant, le détail de son offre de produits et services n’est pas toujours très bien connu des professionnels de l’information.
Nous avons donc souhaité faire le point sur l’offre de cet acteur et détailler précisément la base de données Orbis, qui s’avère la base la plus complète dédiée à l’information sur les entreprises que nous avons eu l’occasion de tester.
Les blogs font partie de notre quotidien depuis maintenant des années et plus personne ne conteste leur intérêt en tant que sources d’information.
Il est évident que tous ne se valent pas et qu’il convient de regarder précisément qui en est l’auteur pour en évaluer la fiabilité, mais ils apportent généralement un éclairage différent de celui que l’on peut trouver sur des sources plus classiques comme la presse notamment.
Or quand on pense blog, on pense généralement aux blogs d’experts, de particuliers, d’associations, de journalistes, etc. et on a souvent tendance à oublier les blogs d’entreprises (appelés en anglais corporate blogs).
Nous poursuivons notre série d’articles sur les ressources pays en nous intéressant cette fois-ci à l’Australie.
L’Australie, bien que plus proche du continent asiatique que du continent européen, a une image très occidentale qui lui vient de son statut de colonie britannique et de son partenariat ancien avec les Etats-Unis. De par sa taille et son importance sur la scène internationale, l’Australie est un pays qui ne manque pas de sources d’informations, fiables de surcroît. La difficulté n’est pas tant d’identifier des sources (elles sont extrêmement nombreuses et toutes anglophones) que de sélectionner les plus pertinentes pour un sujet donné.
La recherche d’études de marché et l’obtention de ce type de données, très prisé par les entreprises, est une mission dont il n’est pas simple de s’acquitter.
Et ce, pour trois raisons principales : les bonnes sources de données de marché sont très difficiles à localiser dans l’immense univers informationnel, que ce soit chez les fournisseurs d’informations spécialisés et les sources d’information à notre disposition, elles sont la plupart du temps très chères, et enfin leur qualité n’est jamais assurée, la fiabilité des données trouvées n’étant jamais garantie et devant être évaluée par recoupement.
On se souvient que le passage de Dialog et DataStar à Proquest Dialog avait eu pour conséquence l'abandon de toute une série de types d'information tels que les annuaires d'entreprises, les bases de données marques et les rapports d'analystes/études de marché.
Aujourd'hui, bonne nouvelle, les rapports d'analystes sont de retour avec la banque de données baptisée Thomson Reuters Embargoed Research Collection qui n'est autre que la banque de données Investext rebaptisée.
Il y a, comme on s'en souviendra, trois types de rapports de recherche : sur une entreprise, sur une industrie ou sur un sujet spécifique.
Northern Light a maintenant une vingtaine d’années et durant ces vingt ans il a pris plusieurs virages stratégiques.
Il a même appartenu quelques temps à Divine avant la débâcle financière de celui-ci, ce qui a permis le rachat à bon prix de Northern Light par son ancien PDG.
Nous avons parlé dans le numéro 293 de BASES (Mai 2012) du « nouveau Northern Light » et rappelé son histoire. Le principal produit de Northern Light est son portail d’entreprises baptisé SinglePoint qui agrège tant du contenu externe que du contenu interne. Il utilise son propre moteur de recherche et propose aussi du data mining.