A l’automne 2015, Twitter a ouvert au grand public son outil de curation de contenu appelé -sans grande originalité- Curator (qui n’a absolument rien à voir avec l’outil de curation français El Curator).
L’outil déjà accessible à une poignée de professionnels depuis mai 2015, a pour ambition de répondre à un besoin majeur des professionnels de l’information : la possibilité de mettre en place des requêtes complexes afin de pouvoir trouver l’information pertinente sur Twitter et de la diffuser ensuite.
Patbase est, avec Orbit et TotalPatent, l’un des produits commerciaux offrant l’accès à l’essentiel des brevets déposés dans le monde depuis très longtemps, avec une forte proportion de brevets disponibles en texte intégral dont beaucoup sont traduits en anglais, et un puissant langage de recherche.
De nombreuses banques de données brevets sont, par ailleurs, accessibles sur les serveurs Proquest Dialog et STN, ce dernier ayant comme on le sait, une offre spécifique dans le domaine de la chimie.
Minesoft vient d’innover, justement dans le domaine de la chimie, avec le lancement de Chemical Explorer.
A lire dans le prochain numéro : nos comptes-rendus sur les conférences clefs d’i-expo 2016
Il semblerait que ce soit pari gagnant pour la nouvelle formule d’i-expo.
Le pari était audacieux, car cette dernière décennie avait malmené ce salon historique (son ancêtre IDT est né en 1974), sur une pente descendante après un certain nombre de péripéties liées au départ de co-organisateurs au fil du temps, du retrait de SPAT, l’organisateur quasi-historique, et pour finir, la grève des transports qui avait malencontreusement affecté l’édition 2014.
Les plateformes vidéos de type YouTube ou Dailymotion sont aujourd’hui des éléments incontournables de notre vie privée mais peuvent-elles réellement avoir un intérêt dans un cadre professionnel, notamment pour les professionnels de l’information ?
Quand on pense à YouTube, on pense plutôt clips de musiques, bandes annonces de films, rediffusions de programmes TV ou séries diffusées plus ou moins légalement, youtubers qui font des sketchs et vidéos humoristiques ou bien tutos beauté. Bref, on est très très loin de l’univers de l’entreprise...
Highwire Press, l’agrégateur qui indexe des millions d’articles de publications scientifiques et académiques a récemment signé un partenariat avec TrendMD, un moteur de recherche de recommandation qui a pour vocation à être utilisé au niveau des résultats d’Highwire.
Depuis le début de l’année 2016, Proquest et l’ISSN (International Standard Serial Number) collaborent afin d’améliorer la diffusion des revues numériques. L’un de leurs objectifs est d’identifier toutes les revues actives ne disposant pas de numéro ISSN et de leur en attribuer un.
Stratégie, politique et reformulation de l’open access, Revue française des sciences de l’information et de la communication, mis en ligne le 24 mars 2016 http://rfsic.revues.org/1836
Ghislaine Chartron, directrice de l’INTD a récemment publié un article dans la revue française des sciences de l’information entièrement dédié à l’Open Access. Cet article aborde le développement de l’open access et les reformulations progressives du mouvement, la diversification et développement des modèles open access, les politiques nationales d’open access, le contexte français, l’actualité de la loi numérique et le nouveau tournant marqué par Berlin 12.
Twitter creates ‘new academic hierarchies’, suggests study, Times Higher Education, 23 mars 2016 bit.ly/1q1RX7c
Les altmetrics (métriques alternatives qui mesurent l’impact des publications scientifiques dans les médias sociaux) sont à la mode. Mais cet article émet des doutes quant à l’utilisation de Twitter pour évaluer l’impact d’un article scientifique. Il montre, entre autres, que les comptes Twitter académiques (chercheur, doctorants, etc.) qui suivent une centaine de comptes ont en moyenne 91 followers alors que ceux qui en suivent environ 1000 ont en moyenne 870 followers. La notoriété d’un compte ne serait donc pas forcément reliée à un certain mérite académique.
SERVEURS • Scopus offre des références bibliographiques très enrichies
AGENDA • Créativité et Innovations dans les pratiques de veille et recherche d information
BASES DE DONNÉES • Bureau van Dijk : une vaste gamme de bases de données financières et business
OUTILS DE VEILLE • Kantar Média relance Pickanews
SERVEURS • STN regroupe les banques de données permettant des recherches sur les structures de Markush
SOURCING • Brèves de contenu janvier/ février 2016
Traditionnellement, et encore aujourd’hui dans la plupart des cas, les références obtenues dans les banques de données bibliographiques de littérature scientifique sont vraiment centrées sur l’article lui-même.
C’est-à-dire qu’on y trouve titre, source, auteur(s), résumé et indexation plus ou moins développée avec peu ou pas d’informations complémentaires.
Une première valeur ajoutée de Scopus est la présence, très fréquente, d’un lien « view at publisher »,qui donne accès directement à l’article sur le site de l’éditeur.
Pour fêter les 30 ans de BASES, nous vous invitons à une table-ronde intitulée « Créativité et Innovations dans les pratiques de veille et recherche d’information » qui se tiendra lors du prochain salon i-expo le 24 mars 2016 de 11h à 11h50.
La conférence sera suivie d’un cocktail sur notre stand (F47).
i-expo 2016, Parc des Expositions, Paris Porte de Versailles, Pavillon 4.2
Jeudi 24 mars 2016 de 11h à 11h50 - Salle : ZOLA
Bureau van Dijk (aussi connu sous l’acronyme BvD) est un acteur majeur des bases de données financières et business, comme en témoigne la notoriété de bases telles qu’Amadeus ou Diane.
Pour autant, le détail de son offre de produits et services n’est pas toujours très bien connu des professionnels de l’information.
Nous avons donc souhaité faire le point sur l’offre de cet acteur et détailler précisément la base de données Orbis, qui s’avère la base la plus complète dédiée à l’information sur les entreprises que nous avons eu l’occasion de tester.