Si on ne devait retenir qu’un seul réseau social pour sa veille et ses recherches d’information, ce serait sans aucun doute Twitter.
Et ce pour plusieurs raisons.
En termes de contenus déjà puisque c’est le réseau social qui détient à ce jour le plus de contenus professionnels pertinents qu’il s’agisse d’actualités, d’informations stratégiques, d’informations scientifiques ou techniques, etc.
En termes de fonctionnalités ensuite puisqu’il est aujourd’hui le seul réseau social à proposer des possibilités de recherche de qualité même si elles ont eu tendance à un peu se dégrader avec le temps.
Enfin, c’est le seul qui n’est pas trop « boîte noire » et qui permet de réaliser des recherches d’informations plus maîtrisées que sur d’autres plateformes. On sait sur quoi on recherche et on sait également qu’on peut réellement explorer l’ensemble des contenus et pas une petite partie seulement, choisie par un algorithme peu transparent.
Même quand on pense tout savoir sur Twitter pour la veille et la recherche d’information, on se rend compte qu’il y a toujours de nouveaux recoins à découvrir et de nouvelles méthodes à explorer.
Dans cet article, nous faisons le tour des possibilités offertes par Twitter pour la veille et la recherche d’information en 2022 en tenant compte des dernières évolutions et changements du réseau social. Nous nous intéressons également aux ressources externes à Twitter qui permettent d’améliorer la recherche et la veille sur Twitter.
Après avoir lu cet article, la veille et la recherche sur Twitter n’auront plus de secret pour vous !
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Né en octobre 2010 et racheté par Facebook dès 2012, Instagram compte aujourd’hui 1,386 milliard d’utilisateurs actifs mensuels, et 500 millions d’utilisateurs quotidiens dans le monde, ce qui en fait le 5e réseau social le plus utilisé.
Il se présente comme une plateforme où le moyen d’expression est essentiellement l’image : en premier lieu le format photo, auquel s’est ajoutée la vidéo. Dans tous les cas, il s’agit de publications très courtes et synthétiques : photo ou carrousel de photos accompagnés d’une simple légende, vidéo ne dépassant pas les 2 min, etc. Les commentaires y sont toujours très succincts, contrairement à ce que l’on peut voir sur Facebook par exemple.
Dans cet article nous allons expliquer le fonctionnement de ce réseau social, son intérêt pour la veille et la recherche d’information, comment l’explorer et le mettre sous surveillance.
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A priori Instagram semble avoir peu de rapport avec le monde de la veille et de la recherche d’information. Pourtant, ses évolutions successives et son appropriation, parfois très créative, par les start-ups et autres sociétés Tech, mais aussi plus récemment par les médias, en font un corpus incontournable pour certains sujets. C’est aussi le réseau de prédilection des marques, en comparaison de Twitter qui attire davantage les experts et les personnalités. On pensera en particulier aux secteurs de la mode, du design, de l’art et de l’image en général, mais aussi à tout ce qui touche à l’innovation. Plus largement, c’est un espace de communication pour les secteurs liés aux produits de grande consommation, puisqu’il ne faut pas perdre de vue qu’Instagram n’a pas été conçu pour diffuser de l’information, mais pour diffuser des images et in fine influencer certains publics.
Reddit - ( pour « have you read it ? ») est un site web communautaire américain de discussion et de partage d’information, de médias et de liens. Découpé par espaces thématiques, ou communautés appelées aussi subreddits, chacune de ces communautés traite d’un sujet unique (actualité, science, ingénierie, politique, astuces et conseils, tutoriels, humour, jeux vidéo, art, etc.). Ainsi, Reddit comptabilise plus de 1,2 million de sujets divers.
Fondé en 2005, Reddit s’adressait à l’origine à des passionnés de jeux vidéo et de programmation. Aujourd’hui ces derniers ne représentent plus que 4,5 % des utilisateurs, ce qui confirme la diversification des contenus et le rend désormais accessible au plus grand nombre. En 2020, Reddit se plaçait comme le 20e site web le plus populaire au monde. (Source Journal du Net : Reddit : réseau social discret, mais puissant !).
Malgré ce succès planétaire, il est encore boudé par la communauté française, même si on en entend parler de plus en plus.
Cet article vise à le réhabiliter auprès des professionnels de l’info, car sa structure inédite en fait un réseau social précis qui pourrait modifier vos approches méthodologiques et étoffer vos recherches.
Difficile à interroger, peu associé à une image professionnelle, Facebook ne semble pas le candidat idéal pour la veille ou la recherche d’information.
Et pourtant… Facebook peut se révéler une mine d’informations, à condition de bien savoir s’y prendre.
Dans notre article, nous examinons en détail quels sont les outils et méthodes pour bien rechercher et faire de la veille sur Facebook.
Facebook n’a pas vocation à être utilisé pour tous les types de veille.
Par son caractère grand public, Facebook permettra surtout de trouver de l’information émanant ou visant le grand public.
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LinkedIn est LE réseau social qui monte en puissance pour la veille et la recherche d’information. On y trouve de plus en plus de contenus pertinents qui pourront répondre à de multiples besoins informationnels : informations stratégiques, brevets, commerciales, concurrentielles, etc.
LinkedIn est donc un excellent réservoir d’informations, mais rien, absolument rien, n’est fait pour faciliter la vie du veilleur :
Devant un tel constat, faut-il vraiment essayer de rechercher et de faire de la veille sur LinkedIn ?
La réponse est un grand OUI en raison de la richesse du contenu proposé que l’on ne retrouve pas nécessairement sur d’autres plateformes. Mais il faut adapter ses pratiques de recherche et de veille pour obtenir un résultat satisfaisant.
Dans cet article, nous vous expliquons donc quelles sont les meilleures méthodes et outils pour rechercher de l’information et faire de la veille sur LinkedIn.
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ArchiRès est le nom d’un réseau de bibliothèques des écoles nationales supérieures d’architecture (ENSA) et du paysage en France, mais également d’instituts en Belgique, au Maroc et au Liban. C’est aussi un portail documentaire du même nom qui donne accès à un catalogue de recherche commun aux différents organismes membres d’Archirès.
Une nouvelle version de ce portail vient de voir le jour le 28 mars dernier.
Nous avons exploré pour vous cette ressource et évalué son intérêt pour la veille et la recherche d’information.
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YouTube a été lancé en février 2005 en Californie par trois ex-employés de PayPal, avec comme objectif de mieux utiliser et valoriser la vidéo, un format jugé sous-exploité à l’époque par les trois fondateurs.
Leur idée première était de créer… un site de rencontres à base de vidéo, mais après quelques jours seulement, le projet a basculé vers la création d’une plateforme où tout internaute pourrait très facilement et gratuitement créer sa propre chaîne de diffusion de contenu vidéo.
Dix-huit mois plus tard, en octobre 2006, YouTube qui comptait déjà 20 millions d’utilisateurs par mois était racheté par Google qui déboursa alors 1,65 milliard de dollars. La version française de YouTube fut lancée quant à elle en juin 2007.
Selon une enquête menée par Hootsuite en octobre 2021, YouTube occupe aujourd’hui la deuxième place du classement des réseaux sociaux les plus utilisés, juste après Facebook, et réunit 2,2 milliards d’utilisateurs à l’échelle de la planète. Son audience est gigantesque puisque d’après YouTube, plus d’un milliard d’heures de vidéo sont consommées chaque jour dans le monde.
L’une de ses particularités est qu’il n’est pas du tout obligatoire d’avoir un compte YouTube pour pouvoir l’utiliser, rechercher des vidéos, visionner du contenu, surveiller une chaîne ou une requête par mot-clé dans la plateforme. Contrairement à certains réseaux sociaux qui restreignent très vite leur utilisation si l’on n’est pas connecté (c’est le cas de Facebook par exemple), YouTube permet de bénéficier de son contenu en n’étant pas identifié.
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Lancé en Chine en 2016 et mondialement en 2017, TikTok est un réseau social de création et diffusion de vidéos au format court créé par l’entreprise chinoise Bytedance. Originellement uniquement sur smartphone, une interface sur ordinateur a été mise à disposition, ce qui permet aux professionnels de l’information de consulter plus facilement cette plateforme, notamment sans devoir nécessairement créer un compte.
Si la quasi-totalité du contenu n’a aucune pertinence pour les professionnels de l’information, une recherche sur les bons mots-clés et hashtags permet de détecter des éléments intéressants dans le cadre d’une veille.
Aux contenus sans intérêt se sont ajoutés depuis environ 2019-2020 des contenus issus de marques, d’entreprises diverses, de médias journalistiques voire de personnalités politiques. Format court, visuel, accessible, la recette semble parfaite pour la transmission d’informations. Conséquemment, si l’intérêt reste limité et circonscrit à des types de veille précis (veille réputationnelle et concurrentielle en premier lieu), le professionnel de l’information a tout intérêt à ne pas négliger complètement ce nouveau canal. Sur ce sujet, on conseillera la lecture de l'article "Une veille sur TikTok, c'est possible ?".
À condition d’avoir la bonne méthode de recherche.
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Même bien avant l’invention du Web, il a toujours existé un besoin de sources et outils capables de proposer, d’agréger et de structurer des listes de personnes, d’entreprises, de sources, etc. qualifiées par rapport à une thématique donnée ou un type de contenus. C’est le principe même des annuaires, dont on retrouve les premières traces dès le Moyen-âge.
Et ces annuaires et répertoires, papier d’abord puis numériques (on se souvient de l’annuaire de Yahoo ou de Dmoz) ont toujours été d’une grande utilité pour le veilleur et ont longtemps fait partie de la panoplie de base du professionnel de l’information. Ils constituaient en quelque sorte de riches portails agrégateurs de flux thématiques.
Pourtant, ils se sont fait de plus en plus discrets avec les années, quitte à disparaître pour un grand nombre d’entre eux ou ont simplement été délaissés par les internautes et les professionnels.
Les moteurs de recherche généralistes comme Google, Bing et les autres ne sont pas sans responsabilité dans leur disparition. D’un côté les moteurs eux-mêmes ont tout fait pour marginaliser ces acteurs en limitant leur visibilité dans les résultats de leur propre moteur. Et de l’autre, les internautes ont naturellement choisi la voie de la simplicité et de l’efficacité en choisissant des outils les menant directement à la réponse à leur question plutôt que des outils les conduisant vers des sources pertinentes qu’il faut ensuite explorer et interroger.
Mais le vent pourrait bien être en train de tourner…
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Comme nous l’avons vu dans l’article « La veille Web sans trace : un pari impossible ? », laisser le moins de traces possible lors de ses recherches et veilles sur le Web n’est pas chose facile.
Et pourtant, il existe des cas où cette stratégie est intéressante, voire même indispensable. On pensera ainsi aux cas où il faut limiter les biais liés à la personnalisation des résultats, et aux cas où il faut éviter de trop se dévoiler dans le cadre de sujets stratégiques, concurrentiels ou confidentiels.
Alors, comment s’y prendre ?
Dans cet article, nous analysons les différentes possibilités, méthodes et outils existants aujourd’hui. Nous couvrons un large champ de solutions allant de la plus simple et rapide à la plus complexe et chronophage. Pour chacune d’entre elles, nous évaluons les cas concrets où elles peuvent avoir une utilité et quels sont les avantages et inconvénients pour le processus de veille et de recherche d’information en lui-même.
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La recherche d’information et la veille reposent avant tout sur un bon sourcing : le sourcing clé en main que l’on trouve dans les corpus que les professionnels utilisent au quotidien (agrégateurs de presse, plateformes de veille, etc.) et le sourcing « fait maison » que chacun se doit de mettre en place et faire évoluer régulièrement.
La taille (des milliers voire des millions de sources) et la diversité des sources qui composent aujourd’hui les corpus des outils grand public et professionnels et le confort et la facilité que cela peut procurer ont tendance à faire oublier qu’il y a des angles morts dans chacun de ces outils. Aucun outil ne contient par défaut toutes les sources utiles à la bonne réalisation d’une recherche ou d’une veille. Et c’est au professionnel de constituer un corpus de qualité adapté à ses problématiques précises et surtout de rester en alerte constante pour l’adapter.
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Dans le monde professionnel, nous sommes tous confrontés un jour ou l’autre, à la recherche de tarifs.
Pour certains acteurs qui opèrent notamment une activité en BtoC et vendent des produits de grande consommation, c’est même une activité cruciale et un élément clé de leur veille concurrentielle. Il s’agit alors notamment de surveiller en continu les tarifs et surtout les variations de prix opérés par les concurrents. La veille dite « tarifaire » répond alors à une démarche très structurée et fait appel à des outils capables de mener cette veille à grande échelle.
Pour de nombreux autres acteurs, la recherche de tarifs relève plus de l’investigation ponctuelle que d’une véritable démarche de veille itérative : il s’agit par exemple d’analyser son environnement concurrentiel en essayant d’avoir une vision des tarifs pratiqués par ses concurrents, d’analyser un marché sur lequel on souhaite s’implanter, de faire une première évaluation de fournisseurs ou prestataires éventuels, etc.
Mais les tarifs ne sont pas toujours affichés sur le Web et surtout, ils ne sont pas fixes et exacts. Les tarifs de produits BtoB ou de prestations de services que l’on peut trouver sur le Web permettent certes d’avoir une première idée des tarifs pratiqués, mais les tarifs réels dépendent de multiples critères qui ne peuvent être pris en compte sur une simple page web (taille de l’entreprise, type de mission, nombres de personnes impliquées, etc.). La recherche de tarifs s’avère alors plus aléatoire et compliquée pour les produits vendus en BtoB et l’est encore davantage pour les prestations de service.
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Twitter est une source d’information incontournable pour le professionnel de l’information : qu’il s’agisse de réaliser une veille métier, un sourcing thématique, un premier tour d’horizon sur un sujet, une veille concurrentielle, Twitter apporte quasi systématiquement une valeur ajoutée à la recherche d’information et à la veille.
Contrairement à la plupart des autres réseaux sociaux, Twitter a l’immense avantage de proposer des fonctionnalités de recherche dignes de ce nom, qui permettent d’explorer efficacement les contenus qu’il renferme.
Pourtant, il arrive que les fonctionnalités proposées ne soient pas suffisantes pour arriver au résultat souhaité. Il faut alors tester différentes méthodes, ruser ou trouver des outils externes qui comblent ces lacunes.
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Les portails documentaires ont depuis de nombreuses années de multiples atouts qui en font des candidats de choix pour le sourcing des veilleurs. Mais encore faut-il réussir à les identifier.
Les portails sont créés et alimentés par des professionnels de l’information spécialistes des thématiques qu’ils abordent, au contact direct des experts du domaine et avec une connaissance pointue de la recherche d’information et de la veille, de la mise en place des portails et de la structuration de l’information (ontologie, thésaurus, indexation, etc.).
Au-delà du catalogue classique d’une bibliothèque ou d’un centre de documentation, ou encore de certaines bases de données spécialisées, ces portails proposent de plus en plus des veilles thématiques prêtes à l’emploi, des newsletters ou encore des notes de synthèses, études et analyses.
Bref, une véritable mine d’or !
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Nous recevons régulièrement des demandes de nos lecteurs cherchant des pistes ou méthodes pour certaines de leurs recherches ou qui souhaitent de plus amples informations sur certains outils de veille.
Si vous souhaitez poser votre question (anonyme ou non) pour un prochain numéro de NETSOURCES, n’hésitez pas à nous l'adresser à l’adresse Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..
Chaque mois, nous traitons la question d’un lecteur, qu’il s’agisse d’une question méthodologique, d’un panorama d’outils, de ressources ou des questions sur le métier de professionnel de l’information.
La question nous a été posée ce mois-ci par une une personne qui a déjà été narratrice pour livres audio par le passé (mais pas en France).
Elle souhaite identifier les bons contacts et les bonnes sources pour trouver des missions dans ce secteur, mais aussi prospecter directement des contacts qualifiés sur le marché français.
C’est donc à cette question que nous allons répondre aujourd’hui dans cet article.
Tout le monde ou presque utilise Google pour rechercher de l’information. S’y limiter présente néanmoins quelques risques : l’un des plus importants étant de passer à côté de contenus pertinents non accessibles sur le Web ouvert ou mal référencés.
Pour mener une recherche efficace sur Google, on peut bien évidemment tirer parti des différentes fonctionnalités proposées par le moteur (recherche sur un site ou une extension précise, recherche sur certains types de fichiers, recherche sur les titres de pages, etc).
Les fonctionnalités sont toujours nombreuses mais certaines ont disparu ces dernières années et d'autres n’ont tout simplement jamais fonctionné correctement (comme l’opérateur de proximité AROUND par exemple).
Mais saviez-vous que certains concurrents de Google comme Bing, DuckDuckGo ou encore Yandex proposent quelques fonctionnalités originales ou innovantes que l’on ne retrouve pas chez le géant américain ?
La phase de sourcing, c’est-à-dire l’identification des sources d’informations pertinentes est un élément essentiel de tout processus de veille. On peut bien évidemment créer des alertes sur des moteurs, réseaux sociaux, agrégateurs de presse tous azimuts ce qui peut générer un bruit considérable mais on a aussi et surtout intérêt à identifier et mettre sous surveillance des sources précises en lien avec son sujet.
Différentes méthodes sont possibles pour y parvenir : interroger des moteurs de recherche, des médias sociaux en testant plusieurs stratégies de recherche plus ou moins ciblées, explorer des sites de référence à la recherche d’une rubrique « liens » qui redirigerait vers d’autres sites pertinents, etc.
Nous apprenions il y a quelques jours dans un communiqué de presse de l’Union Européenne de Radio-Télévision (UER) que les adresses internet avec une extension
.radio
allaient être mises sur le marché en 2017.
Cela va se faire selon plusieurs vagues successives.
Le but : fédérer la communauté des 65 000 radios hertziennes et des 60.000 webradios dans le monde. A noter qu'une radio devra débourser 200 euros pour acquérir cette extension.
En février et mars 2017, l’UER va sélectionner 80 radios dans le monde parmi celles ayant fait une demande et leur attribuer une extension .radio
. Ce n’est qu’en mai et juin que les autres radios pourront à leur tour postuler.
Le mouvement de l’Open Data (ouverture et mise à disposition des données) concerne principalement les données dites « publiques », c’est à dire produites par des organismes publics ou affiliés (ministères, collectivités locales, état, organismes publics comme l’assurance maladie, Pôle Emploi, l’INSEE, entreprises publiques etc.) mais l’Open Data dans le secteur privé commence également à se développer.
L’ouverture des données en France mais également dans le reste du monde représente donc une véritable opportunité pour les personnes confrontées à des problématiques de veille et de recherches d’information.
Les plateformes/portails Open Data permettent en effet d’accéder gratuitement à une multitude de données brutes, certes, mais vérifiées, relatives à des secteurs comme le transport, l’urbanisme, l’économie, la culture, la santé, etc.
Avant le mouvement de l’Open Data, apparu il y a quelques années maintenant, on rappellera que ces données étaient souvent difficilement accessibles même pour des professionnels experts de la recherche.
Pour interroger la presse que ce soit pour la France ou à l’étranger, on pense généralement aux solutions suivantes :
Mais ces différentes solutions ne permettent malheureusement pas d’accéder à une très grande antériorité notamment au delà des années 90. Alors, comment faire ?
LinkedIn est principalement connu pour être le réseau social professionnel leader du marché
Pour la recherche d’informations et la veille, on se tourne en priorité vers lui pour rechercher des profils pour un poste, ou pour obtenir des informations sur une personne.
On peut s’abonner à des groupes thématiques pour suivre les discussions sur différents sujets et bénéficier des articles/ressources partagés par les membres. Depuis quelques années néanmoins, on constate que les groupes se transforment de plus en plus en espaces publicitaires où les membres et entreprises communiquent sur leur propre actualité, ce qui a moins de valeur ajoutée a priori.
Les salons professionnels représentent souvent une source d’information intéressante pour la veille et la recherche d’information.
Cela permettra par exemple :
d’identifier des salons en lien avec son activité pour y devenir exposant ou simple visiteur
de traquer la présence de concurrents sur les salons dans le cadre d’une veille concurrentielle
de repérer des fournisseurs et partenaires éventuels
d’identifier des médias spécialisés sur une thématique précise dans le cadre d’un sourcing
de repérer de nouveaux acteurs, start-ups et produits et services innovants dans un secteur bien précis pour une veille innovation, etc…
Rappelons que Factiva est un des principaux acteurs sur le marché des agrégateurs de presse. Il permet d'interroger plusieurs dizaines de milliers de titres de presse en France et à l'international ainsi que des sources Web (sites d'actualités, blogs, etc.) et est utilisé par un grand nombre de professionnels de l'information et de la veille dans le monde.
Lorsque l'on cherche dans Factiva les articles écrits par une personne donnée, il est extrêmement tentant de chercher le nom de cet auteur dans le filtre auteurs.
Et c'est là que se situe justement le piège! En effet, pour qu'une personne figure dans le filtre auteurs, il faut qu'elle ait écrit au moins quatre articles dans la même publication pendant une période de trente jours.
Cela limite donc de fait la liste à des journalistes professionnels ou à des chroniqueurs très réguliers.
On peut néanmoins rechercher tous les articles écrits par une personne donnée moins prolifique, il suffit pour cela d'écrire by=Prenom Nom.
Toujours bon à savoir pour éviter des désillusions inutiles.
Auteur : François Libmann, Directeur de Publication
Dans un récent ouvrage paru aux éditions de l’INA, intitulé « L’ information à tout prix », les auteurs ont mis en évidence, grâce à un algorithme de détection de plagiat, un fait édifiant, quoique peu surprenant...
Dans les cas des actualités « chaudes », 64% de l’information publiée en ligne correspond à du copié-collé pur et simple
Et pour les professionnels de l’information, cette profusion de contenus dupliqués a un impact réel et dommageable sur l’exercice de leur métier au quotidien quand il s’agit de réaliser des recherches documentaires ou des veilles, qu’elles soient documentaires, concurrentielles ou stratégiques.
Ainsi, pour toute recherche ou veille sur les news, le professionnel est de plus en plus souvent noyé sous l’information alors que seule une infime partie de ce contenu est susceptible d’apporter des informations originales et réellement utiles.
On peut réaliser une veille ou une recherche bibliographique via des bases de données bibliographiques spécialisées présentes sur les serveurs et agrégateurs, via les sites des éditeurs scientifiques ou encore tout simplement sur le Web ouvert et gratuit (via Google Scholar par exemple). On identifie alors une liste de notices bibliographiques comprenant généralement le titre de l’article, le nom des auteurs ainsi que le résumé et parfois quelques termes d’indexation.
Derrière un nom énigmatique se cache en réalité un nouveau format pour la syndication de contenu : les flux au format JSON Feed jouent donc dans la même cour que les flux RSS et atom. Attention cependant à ne pas confondre avec les flux d'information codés en JSON qui sont plus communs et utilisés depuis plusieurs années.
Rappelons que le RSS est un format de données utilisé pour la syndication de contenus Web. Les flux RSS sont des fichiers XML qui sont souvent utilisés par les sites d'actualité et les blogs pour présenter les titres des dernières informations consultables. (source : Wikipédia).
Que ce soit pour une recherche d’informations ou dans le cadre d’une veille, il existe une multitude d’astuces et méthodes pour optimiser sa recherche et identifier des résultats pertinents.
Lorsque l’on a identifié une page ou un site web pertinent par exemple, il peut être intéressant de l’utiliser comme point de départ d’une nouvelle recherche, dans l’optique d’identifier des sources et contenus similaires.
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Dans notre précédent billet « Google Actualités évolue à son tour : bonne ou mauvaise nouvelle pour la veille ? », nous avions analysé la nouvelle interface de Google Actualités (plus communément appelé Google News) afin de voir ce que cela changeait pour la veille et la recherche d’informations.
Et le constat final n’était malheureusement pas très encourageant...
Nous allons donc aujourd’hui tester l’aspect méthodologie de recherche. Existe t-il une façon réellement efficace de l’interroger ?
Pour rappel, Google Actualités est un moteur, lancé en 2002 mais en 2009 seulement pour la France, qui n’indexe que des contenus provenant de sites de presse, site d’actualités et quelques blogs de référence.
Les concepts d’études de marché et de gratuité semblent à première vue antinomiques. Les études de marché ont la réputation d’être chères, très chères même...
Alors que se cache t-il derrière ces sites et organismes qui proposent des études de marché gratuites ou très bon marché ? Quel intérêt ces documents peuvent-ils avoir pour la veille et la recherche d’information ?
Derrière le terme « étude de marché » se cachent en réalité de multiples définitions.
Certains lui appliquent une définition très stricte : celle d’une étude longue combinant de manière équilibrée données sectorielles et vision stratégique et prospective d’un marché.
D’autres, au contraire, englobent toute forme de rapports ou d’études courtes ou longues incluant des données de marché.
Et les documents que l’on trouve gratuitement sur le Web relèvent principalement de cette seconde définition.
Depuis plus de 10 ans maintenant, Google a recours à ce qu’il appelle la « recherche personnalisée ».
Concrètement, cela signifie que Google personnalise la liste des résultats naturels de ses utilisateurs en fonction de différents critères : localisation, historique de recherche, historique de navigation ou encore présence et contacts sur les médias sociaux, etc.
Deux personnes effectuant une même requête au même moment n’ont donc pas nécessairement les mêmes résultats.
Et quand on sait que Google n’affiche en réalité pas plus de 200/300 résultats au maximum par requête, même s’il indique à première vue des milliers voire des millions de réponses, on risque vite de passer à côté d’informations et de sources pertinentes...
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