Produit documentaire classique, la newsletter a su devenir incontournable pour proposer des services, mais aussi valoriser des activités et l’image du service documentaire. Nous avons expérimenté deux outils de création et diffusion de contenus, Flashissue et MailChimp.
Google a récemment annoncé qu’il avait retiré le cache des pages Web dans les résultats du moteur. C’était pourtant une option bien utile quand une page ou un site n’était pas disponible.
L’année 2023 a été marquée par la démocratisation des IA génératives. Cette technologie de pointe, qui a émergé sur le marché en 2020, était alors réservée à quelques experts qui payaient une API. Amorcée par la mise sur le marché de l’interface gratuite ChatGPT d’OpenAI, dont la plupart des produits sont devenus payants dans les mois qui ont suivi, cette démocratisation pourrait néanmoins perdurer grâce au développement de modèles de langage sous licence ouverte (ou « open source »).
Les médias des collectivités locales sont des sources essentielles d’informations régionales au rôle bien singulier. Et comme l’intégration de ces ressources dans une veille reste un véritable défi, comment identifier, surveiller et intégrer ces médias à son système de veille.
La connaissance des médias est une compétence essentielle du sourcing et de l’analyse dans la veille informationnelle. Pourtant, les professionnels de la veille et des médias ne se côtoient que trop rarement. Or, connaître l’univers - et la diversité - médiatique est justement ce qui permet de constituer un corpus complet, c’est-à-dire qui prend en compte l’ensemble des opinions autour d’une question. Visite guidée, à l’aube d’une prochaine disruption médiatique.
Après les moteurs de recherche et les médias sociaux, l’IA générative redistribue de nouveau les cartes pour les médias d’information. Avec des impacts considérables sur la production, la diffusion et la monétisation du contenu. Comment les médias s’adaptent-ils et comment cela affecte-t-il l’activité de veille ? Petit tour des initiatives en cours.
Les médias locaux évoluent et cela impacte directement le sourcing et les pratiques de veille. Comment identifier et intégrer ces sources et verticales dans son sourcing ?
L’infobésité des sources est un défi de plus en plus difficile à gérer, pour un veilleur comme pour tout un chacun. L’une des pistes possibles pour en sortir passe par une méthode de « mise en veilleuse » basée sur l’intelligence des sources que nous développons dans cet article.
Microsoft vient de mettre à disposition du marché européen son offre IA adaptée à sa suite Office et son tarif, 30 €/mois/personne, n’est pas négligeable pour un service de veille.
Sur Twitter, le nombre de fonctionnalités essentielles à la veille se réduisant drastiquement, nombreux sont les professionnels qui se questionnent sur les alternatives. Twitter a perdu encore 10 % d’abonnés en quelques mois, et les institutions, comme l’ENSSIB par exemple, commencent également à déserter cet espace.
On oublie trop souvent que les brevets ont un intérêt pour la veille concurrentielle. Et pourtant, en savoir un peu plus sur la politique brevet d’une entreprise est souvent très utile : par exemple, S’il s’agit de l’un de vos concurrents, cela peut être intéressant de connaître les techniques sur lesquelles il dispose d’une capacité d’interdiction, Si c’est un potentiel partenaire, cela peut être très pertinent avant de signer un accord de collaboration de connaître son niveau de sensibilité à la propriété industrielle. Et s’il s’agit d’un des fournisseurs auprès duquel vous vous approvisionnez en composants indispensables, s’il dispose de brevets sur ces composants, cela peut vouloir dire que vous ne pourrez vous fournir ailleurs. Et cette liste est loin d’être exhaustive.
Le réseau social par excellence pour faire de la veille a longtemps été Twitter (désormais X), en raison des fonctionnalités qu’il proposait et de la gratuité de son API qui permettait l’existence d’un écosystème d’outils de qualité pour analyser, rechercher et faire de la veille sur le réseau social.
Parmi les outils IA, ceux qui proposent la fonctionnalité de Text-to-Speech (ou Text to Voice) représentent un gain de productivité. On les utilise pour écouter ses sources, ou pour faire écouter son livrable en format audio.
Depuis la sortie du générateur de texte ChatGpt il y a quelques mois, on commence à comprendre que l’impact de l’IA sur les usages du professionnel de l’information concerne surtout la création de contenu.
Sur le Web, les commentaires publiés sous des articles, billet de blogs et sous les posts des réseaux sociaux peuvent parfois receler de véritables pépites mais ce sont des contenus difficiles à intégrer dans ses veilles et recherche d’information. En effet, on peut ponctuellement avoir besoin de plonger dans les commentaires sur les réseaux sociaux, par exemple pour une étude d’image, pour obtenir des informations complémentaires à l’article lui-même, pour y trouver des réponses, pour les analyser en vue d’une étude ou les sauvegarder en vue d’un usage futur.
Ne dites plus « lecteurs de flux RSS » mais « lecteurs d’information » ou « App d’actualité ». Nouvelles applis, nouvelles fonctionnalités, nouveaux looks, nouvelles promesses… Au cours de leur veille outils, les professionnels de l’info ont vu apparaître dernièrement de nouveaux acteurs, avec un discours marketing prometteur. Les lecteurs se moderniseraient-ils au point de gagner en notoriété ? Faut-il se préparer à remplacer Feedly ou Inoreader ? C’est à ces questions que nous nous proposons de répondre.
Dans le cadre d’une recherche d’informations, le premier réflexe pour identifier des sources est généralement de cibler des médias, des experts, voire des annuaires. Mais il existe une autre ressource utile pour fournir de l’information et à laquelle on pense moins : les listes de sources disponibles sur des tableurs en ligne comme Google Sheets ou Airtable et qui se multiplient.
La datavisualisation a un rôle à jouer à toutes les étapes de la veille comme nous avons pu le voir dans le précédent numéro de NETSOURCES. Cela commence dès les premières étapes de la veille avec la définition précise d’un sujet ainsi que le choix des mots-clés et du champ lexical à utiliser pour créer de futures alertes.
Dans le monde de la veille, on peut aisément s’imaginer que la dataviz a surtout un rôle à jouer au niveau de l’analyse et des livrables.
Conçu il y a 10 ans, Inoreader, est l’un des rares agrégateurs qui permet d’aller le plus loin avec les flux RSS et réellement faire de la veille.
Feedly est aujourd’hui un des lecteurs RSS les plus utilisés par les veilleurs et professionnels de l’information. Et ce n’est pas sans raison. Il propose en effet de nombreuses fonctionnalités qui répondent aux besoins des pros de l’information.
Si Feedly et Inoreader sont aujourd’hui les deux lecteurs RSS les plus plébiscités pour la veille (non sans raison), ils ne conviennent pas nécessairement à tout le monde : soit en raison du prix qui ne cesse d’augmenter avec les années, soit en termes d’hébergement et de sécurité des données (certaines entreprises n’autorisent pas l’utilisation de certains outils hébergés en ligne), soit en termes de fonctionnalités (ils en ont beaucoup pour la veille, mais ne peuvent couvrir l’ensemble des besoins).
Le marché des outils de veille est un univers vaste qui regroupe aussi bien les grosses plateformes de veille et de social media monitoring que des outils moins onéreux comme les outils de surveillance de pages et les lecteurs de flux RSS.
Quand on réalise une veille pour soi-même (dans le cas d’une veille métier par exemple), des veilles qui ne nécessitent pas des milliers de sources, qui génèrent un volume d’information raisonnable ou qu’on dispose d’un budget limité, les lecteurs de flux RSS sont toujours aujourd’hui des outils incontournables.
Une newsletter ne se reçoit pas nécessairement par email. Certaines plateformes de création de newsletters offrent la possibilité de s’abonner aux nouveaux contenus via RSS.
Avant de vouloir à tout prix récupérer un flux RSS, il faut déterminer si la source et les contenus que l’on souhaite surveiller sont adaptés à ce format. Et si c’est bien le cas, il existe une méthode générale qui peut s’appliquer à tous les types de sources (sites web, moteurs, réseaux sociaux, bases de données, etc.) et que nous avons détaillée dans l’article « Comment déterminer la méthode la plus adaptée pour mettre une source en veille ? ».
Il est possible de récupérer des flux RSS sur certains moteurs et leurs verticales. C’est par exemple le cas de Google et de ses moteurs spécialisés comme Google Actualités ou même Google Scholar.
S’il y eut un temps où les réseaux sociaux proposaient pour la plupart des flux RSS sortants (sur des comptes, des requêtes, etc.), ce temps est bien révolu. En dépit du regain d’intérêt pour des solutions d’alertes du côté des géants du Web (voir notre article « Maîtriser le RSS, le socle inamovible de la veille »), il faut avoir conscience que ces acteurs ne remettront jamais de flux RSS en tant que tels puisque le but est de garder l’internaute captif de la plateforme. Le veilleur va devoir donc continuer d’essayer de récupérer des flux RSS.
Cela fait des années que l'on nous annonce tantôt la mort du RSS tantôt sa résurrection quand ce n’est pas les deux en même temps.
Si on ne devait retenir qu’un seul réseau social pour sa veille et ses recherches d’information, ce serait sans aucun doute Twitter.
Savoir réaliser des recherches d’image inversée sur le Web est une des compétences des professionnels de l’information. Si cette technique est toujours d’une utilité certaine, elle a quelque peu été malmenée au cours des dernières années. Et aujourd’hui, elle oscille entre une baisse significative de qualité et l’ajout récent de quelques nouveautés et innovations qui ouvrent de nouveaux horizons pour le veilleur.
La recherche d’information et la veille reposent avant tout sur un bon sourcing : le sourcing clé en main que l’on trouve dans les corpus que les professionnels utilisent au quotidien (agrégateurs de presse, plateformes de veille, etc.) et le sourcing « fait maison » que chacun se doit de mettre en place et faire évoluer régulièrement.