La recherche sur le Web évolue de plus en plus vite et ce, en raison des avancées rapides de l’IA, du machine learning et du traitement du langage naturel et leur intégration dans les moteurs de recherche.
On ne peut plus rechercher sur le Web et sur les moteurs de recherche en 2020 comme on recherchait il y a à peine 5 ans. Google, tout particulièrement, évolue rapidement et annonçait il y a à peine quelques semaines plusieurs innovations majeures.
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Pour suivre de près les grandes évolutions de la recherche et de la veille mais aussi du métier de professionnel de l’information, on peut bien sûr suivre l’actualité des différents acteurs de la recherche sur le Web et plus particulièrement des moteurs de recherche. Une autre solution tout aussi intéressante consiste à assister aux différentes conférences francophones et internationales dédiées aux professionnels de l’information.
Pour doper au maximum ses performances de recherche sur le Web, nous conseillons de suivre, pour s’en inspirer, trois types de spécialistes du Web auxquels on ne pense pas en général : les experts du référencement (SEO), de l’OSINT (open source intelligence) et du Google Dorking (ou Google hacking).
Nous avons examiné et confronté leurs recommandations et découvertes, et livrons dans cet article la liste des opérateurs qui marchent le mieux sur Google, ainsi que les requêtes que l’on peut construire de façon originale, et dont on peut s’armer quand on cherche des choses «introuvables»…
Il est acté, parmi les veilleurs et professionnels de l’information aguerris, que les bases de données payantes constituent des outils de premier choix, tant en raison de la richesse de leurs contenus que des langages de requêtes intégrés, conçus précisément pour assurer la meilleure performance de recherche.
D’aucuns pourraient penser que le RSS, cette technologie vieille de 20 ans, autant dire une éternité à l’échelle du web, est à reléguer au rang des antiquités. Et pourtant, elle a remarquablement résisté aux années et survécu à la vague du web social. On pense à tort qu’elle a disparu, alors qu’elle reste incontournable pour les métiers de la veille.
Si les lecteurs de flux RSS ne sont en rien comparables avec les grandes plateformes de veille en termes de puissance et de fonctionnalités, certains ont su tirer leur épingle du jeu et se rendre utiles voire indispensables pour les veilleurs et ce, pour un coût modeste. C’est le cas d’Inoreader et Feedly, leaders aujourd’hui incontestés du RSS auprès des professionnels de l’information. D’autres acteurs ajoutent régulièrement des fonctionnalités intéressantes, d’autres encore arrivent également sur le marché.
Ces outils sont utilisés aussi bien par des veilleurs disposant de budgets très limités que par des professionnels disposant d’outils de veille ou de recherche professionnels payants et qui y ont recours en complément à ces outils.
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Lancée en 2013, la recherche sur les valeurs numériques est une des valeurs ajoutées, originale, de l’offre du serveur STN qui propose, rappelons-le, un ensemble de banques de données dans le domaine de la littérature scientifique (références bibliographiques) et des brevets (références bibliographiques ou fulltext).
Le nombre de propriétés recherchables jusqu’à présent était de 55 telle que la charge électrique (en Coulomb), la force (en Newton), la fréquence (en Hertz), la masse moléculaire (en g/mol), la pression (en Pascal), etc.
On en trouve la liste en cherchant HELP NPS si l’on est connecté à STNext et plus précisément à une des bases offrant cette possibilité.
Sinon, on trouvera la liste à l’adresse http://www.stn-international.de/en/productsservices/products-services.
Lancée le 18 décembre 2019, le « new PubMed » (voir figure 1.) est devenu le 18 mai dernier la plateforme par défaut de PubMed, la précédente (legacy PubMed) restant en ligne au moins jusqu’au 30 octobre 2020.
Cette période de cinq mois a été mise à profit pour réaliser différents tests et recueillir les réactions des premiers utilisateurs.
L’outil gratuit Pubmed a été lancé en 1996 comme un site Web expérimental et revendique aujourd’hui 3,4 millions d’utilisateurs pour un jour de semaine moyen, effectuant des recherches dans un corpus de plus de 31 millions de références bibliographiques.
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L’information qui gravite autour de la veille et de la recherche d’information est toujours aussi dense en ce mois de septembre 2020.
Une rumeur a secoué le monde des moteurs de recherche au mois d’août dernier. Apple pourrait prochainement lancer son propre outil de recherche. Mais qu’en est-il vraiment ?
Aujourd’hui, seuls Google, Bing et Yandex (et probablement Weibo pour la Chine) disposent de leur propre index. Tous les autres moteurs qui vont et viennent sur la scène de la recherche web utilisent en réalité pour la plupart l’index de Bing et parfois, mais c’est beaucoup plus rare, l’index de Google ou de Yandex.
Les réseaux sociaux les plus populaires Facebook, Twitter et Instagram, ont un rôle essentiel pour certains types de veilles : ils s’imposent comme des ressources clés pour les métiers du marketing et de la communication (veille image, e-réputation, influence et veille produit).
Même si parmi eux, Twitter se distingue véritablement par son offre de contenu et de fonctionnalités de recherche et veille, leur intérêt est tel qu’ils font tous trois l’objet de beaucoup d’efforts en termes d’intégration dans les dispositifs de veille, ainsi que dans les plateformes spécialisées.
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Twitter est aujourd’hui le réseau social le plus utile dans un contexte de veille et de recherche d’information professionnelles. Il est également celui qui propose les fonctionnalités de recherche les plus abouties et les plus en adéquation avec les besoins des professionnels de l’information.
Pour autant, Twitter n’intègre pas (du moins pas encore) toutes les fonctionnalités utiles dans un contexte de veille ou de recherche, même si de nouvelles options sont régulièrement ajoutées. Il faut donc faire appel à de petits outils externes souvent gratuit ou freemiums pour répondre à certains besoins d’information.
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