Nous avons déjà eu l’occasion de parler de l’open data à de multiples reprises, dans BASES et dans NETSOURCES et nous lui avions même consacré un article de fond en janvier 2016 («Open Data : une mine d’or brute pour les professionnels de l’information», BASES n°333 - Janvier 2016).
Pour autant, le volume de données liées à l’open data continue de s’accroître et de nouvelles sources en la matière voient le jour régulièrement.
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L’open data continue de progresser dans le monde à de rares exceptions près. On pensera ainsi à toutes les données en open data présentes sur le site de la Maison Blanche aux Etats-Unis sur le site open.whitehouse.gov qui ont été supprimées après l’arrivée de Donald Trump... Le site n’est d’ailleurs même plus accessible aujourd’hui.
D’après l’open data Barometer, (https://opendatabarometer.org), la France est classée en 4e position des pays les plus avancés en matière d’open data derrière le Canada, le Royaume-Uni et l’Australie.
De plus en plus de ministères, villes, métropoles, départements, organismes publics ou encore un nombre non négligeable d’entreprises publient des données ouvertes.
D’après le site https://labo.societenumerique.gouv.fr :
L’open data progresse mais la route est encore longue...
Mais si le volume de données en open data est aujourd’hui loin d’être négligeable, le plus difficile reste de s’y retrouver et de savoir où et comment chercher.
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