La question du multilinguisme intervient également dans la phase de diffusion de la veille quand il s’agit de produire des contenus dans différentes langues : soit en dupliquant les livrables dans différentes langues pour satisfaire les besoins des collaborateurs basés dans différents pays soit pour produire des livrables dans une langue unique que tous les collaborateurs comprennent, dans la majorité des cas l’anglais.
Mais rares sont les veilleurs et professionnels de l’information maîtrisant à la perfection de multiples langues. Et quant à l’anglais, même si nombreux sont ceux qui en ont une maîtrise professionnelle ou avancée, il n’en reste pas moins que produire des contenus dans une langue qui n’est pas sa langue natale prend nécessairement plus de temps et de réflexion.
Comment produire des livrables multilingues et gagner du temps tout en produisant des contenus en « bon anglais » ? C’est ce que nous avons exploré dans cet article.
La première solution consiste à rédiger son livrable dans sa langue natale ou de travail puis de faire traduire le contenu par des outils de traduction automatique comme DeepL ou Google Translate évoqués dans le précédent article. En fonction du format du livrable (fichier, mail, newsletter, etc.), on choisira l’outil ou la fonctionnalité appropriés.
Avec cette méthode, la qualité de la traduction est souvent correcte, mais on arrive facilement à détecter qu’il s’agit d’une traduction « machine » et que ce n’est pas de cette manière qu’une personne « native » rédigerait.
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