Use less boolean on Google for better productivity, Sourcecon, 17 Mai 2016, http://bit.ly/29MUXk2
On voit de plus en plus de personnes remettre en cause le principe de recherche sur Google qui utilise la syntaxe traditionnelle à base d’opérateurs booléens.
L’auteur de cet article s’interroge sur l’utilisation de cette syntaxe et se demande si finalement une recherche en langage naturel ne fournirait pas des résultats plus pertinents.
Depuis quelques années, Google a considérablement amélioré ses performances en matière de recherche sémantique. De fait, les opérateurs booléens ont une utilité moindre et pourraient même restreindre la recherche et faire passer l’internaute à côté des résultats les plus pertinents. L’auteur de l’article présente plusieurs tests pour illustrer ses propos.
De ces différents tests, il tire des enseignements intéressants :
ResearcherID, ORCID, IdHAL : enjeux et perspectives des identifiants chercheurs, journée d’étude URFIST du 24 juin 2016, Slideshare, http://bit.ly/29QTr1R
Il existe aujourd’hui plusieurs systèmes d’identifiants de chercheurs, systèmes qui permettent d’associer un code/chiffre à un chercheur et de retrouver ainsi plus facilement tous ses travaux de recherche (sans risque d’homonymie, variations d’orthographe, etc.). La journée d’étude de l’Urfist et le support qui a ensuite été mis en ligne sur Slideshare (103 pages) s’intéresse dans un premier temps à l’intérêt des identifiants chercheurs pour les chercheurs et les professionnels de l’information. Les différents systèmes coexistant sont ensuite présentés dans le détail : ORCID, idHAL, ResearchId, ScopusId etc.
Comparing published scientific journal articles to their pre-print versions, Digital Libraries, Avril 2016, http://bit.ly/1WEaKBZ
Pas un mois ne se passe sans que l’on n’entende parler des différentes polémiques concernant les éditeurs scientifiques et académiques qui facturent leurs abonnements aux bibliothèques et organismes de recherche à des tarifs exorbitants. Bien souvent, ces éditeurs justifient ces coûts par le travail réalisé par l’éditeur et ses équipes sur les contenus qui lui sont soumis.
La revue américaine Digital Libraries s’est ainsi penchée sur la question et a mené une étude comparative entre des articles en pre-print et leur version finale. Leur verdict est sans appel : il existe généralement très peu de différences entre les deux versions, de quoi remettre en cause les arguments des éditeurs.
L’étude de 10 pages est accessible librement sur le site Arxiv.
Mettre en place une veille sur les vidéos en ligne, Outils Froids, avril et mai 2016. Partie 1 : http://bit.ly/1r3DjwH et partie 2 : http://bit.ly/1U4Jh76
Christophe Deschamps, l’auteur du blog Outils Froids a récemment publié deux articles de méthodologie sur la mise en place d’une veille sur les vidéos en ligne. Le premier article se focalise sur la recherche de vidéos et présente les différentes sources d’information pour les identifier : moteurs de recherche incontournables, moteurs secondaires, sites de partages de vidéos et réseaux sociaux.
Le second article présente les différentes solutions de surveillance : l’abonnement via le réseau social, les flux RSS, la surveillance par un outil de Social Media Monitoring, la surveillance par un outil de surveillance de pages Web. Il détaille ensuite les outils de surveillance proposés au sein des principaux services de diffusion ou moteurs de vidéos comme Google Vidéos, You Tube, DailyMotion, Twitter, Periscope, etc.
Un bon article à consulter lorsqu’on se retrouve confronté à la mise en place d’une veille sur les vidéos.